French to English Art/Literary Poetry & Literature sculpture

I am translating a high-brow, poetic/dreamlike text about a sculptor (XXXX) from the preface of a catalogue containing pictures of his work. In this paragraph, the writer describes a visit he paid to the sculptor's family in Havana.

I'm not sure if it's appropriate to translate **Pays de convergences** directly as "a country of convergences". The latter sounds odd to me and somewhat out of keeping with the poetic style of the rest of this text. I get a few Ghits for "Pays de convergences" in French, but none for "a country of convergences" in English, which further suggests to me that a direct translation isn't the most appropriate option here. I like the way the French repeats the same "X de Y" structure in this sentence ("Pays de convergences, race d'idees") and would ideally like to do something similar in English.

Thanks in advance for any suggestions you can give! MUCH APPRECIATED!!

Here's the entire paragraph for context:

"C'etait a travers un quartier de La Havane, ou j'allais rendre visite a la famille du sculpteur. Son pere, l'assurance retenue de celui qui recoit I'ami de son fils, qu'on comprend et qu'on ne comprend pas. La presentation a la maisonnée, la barriere des langues, la difficulté de saisir tel point de filiation. Mais aussi, cette aise immediate. Une tranquillité sans manieres, comme de parents qui se retrouvent une fois I'an. La dentelle des rais du soleil à travers la piece. Et par dessous ce que nous tentions si paisiblement de nous dire, I'aimant de ce silence a quoi nous eussions bien voulu nous laisser aller. XXXX connait un tel silence. Nous voyons qu'il en vêt les formes qu'il fait surgir. II s'en protege peut-etre, mais surtout it en nourrit son travail, et parfois nous en contamine. C'est la ponctuation du discours. C'est le plus essentiel paysage. Peut-etre l'emportai-je avec moi quand je quittai cette maison, ou nous nons etions trouves si naturellement de meme pays et de meme race. **Pays de convergences**, race d'idees. Au dehors, le soleil frappait toujours son tambour, et Cuba fetait ses palmiers."